Tout pareil que Patafix
DIP 3 j'aime autant qu'il reste là où il était en dernière position. Le principe est que tu ne connais pas d'avance la prochaine direction. A ce moment là qu'il quitte la dernière position ou la position dans l'axe n'a aucune importance alors pourquoi bouffer de l'énergie pour le remettre au neutre après chaque utilisation ?
DIP 4-5 : à ajuster à l'expérience
DIP 6-7 : pas trop d'intérêt d'avoir un grand cercle au milieu pour faire tourner le propulseur à vide sans hélice en fonction. Pour moi ce serait rayon de ce cercle au minimum surtout qu'à priori plus ce cercle sera grand et moins il y aura de plage pour la variation de vitesse hélice, donc moins de précision.
Pour les DIP 1-2 : à voir à l'expérience, comme on le disait il y a quelques jours : un mouvement instantané est un peu irréaliste. Mais attendre deux heures que ton propulseur arrive à la directions voulue c'est chiant aussi (vécu en vrai grandeur où parfois vu le mouvement du canot tu te retrouve à avoir un doute pour la direction de ta poignée, alors tu penses ajuster ... mais non il ne faut pas. Il faut d'abord regarder sur l'indicateur de position des propulseurs - qui est généralement mis sur un montant de sabord (fenêtre) pour ne pas avoir à baisser le regard de la manœuvre - En regardant cet indicateur tu te rends alors compte qu'il faut encore attendre que la position du prop soit conforme à ta poignée avant de commencer à vouloir ajuster. Là tu voudrais parfois avoir de l'instantané et avoir le choix DIP 1 et 2 off
Avec l'image du message précèdent de Patafix : qu'est ce qu'ils ont tous à essayer leurs propulseurs sur des Springer Evidement c'est une coque facile, l'Allemand d'IMTH l'essaye carrément sur une "boite à chaussures" en plexi . Quand dans la vraie vie tu vois la différence entre une coque comme le Camargue et le Kaori de mon avatar, tu te dis qu'un Springer ça doit pas être top.
A+ Xtian
Dernière édition par xtian29 le Jeu 20 Mar 2014 - 7:33, édité 1 fois (Raison : oubli d'un mot)