xtian29 Dim 5 Avr 2015 - 12:19
Hello Camerone
C'est l'occasion de dire que j'aime bien ta façon de rectifier qui laisse l'erreur et rajoute juste une correction. Contrairement à ceux qui touché à l’ego s'empressent de vite virer l'erreur sans laisser de traces et du coup avec quelques incompréhensions pour les messages suivants.
Sinon, il y a quelques années je confondais les œuvres vives et œuvres mortes et j'appliquais la maxime : si tu ne sais pas écrire bicyclette sans faute tu écris vélo - j'ai fini par trouver le moyen mnémotechnique : la raison première du bateau est de flotter, ce qui compte le plus est ce qu'il y a sous l'eau, c'est ça qui vit un canot.
Pour ton René Gabrielle on voit bien les feux de pêche sur le grand mât. Je verrais bien le feu de poupe bien sur le mât arrière sous la bôme du tape-cul - Au dessus c'est pas facile à cause de la voile, et à cette époque la plupart aux affmar ne rigolaient pas pour les feux qui devaient bien être dans l'axe.
Mais as tu la solution ? d'autres photos ?
Tiens je me demande pourquoi Gabrielle (féminin)
il est dit une première fois
histoiresmaritimesrochelaises.fr a écrit:Construit au Château d’Olonnes en 1953, ce chalutier classique appartient tout d’abord à l’armement Semelin. Lorsqu’en avril 1970, l’armateur Brumault des Houlières en fera l’acquisition, il ne débaptisera pas le bateau qui portait les prénoms de son ancien propriétaire. Alors qu’il rentrait à La Rochelle et qu’il était au large de Chassiron, le René Gabrielle sera perdu corps et biens lors de la tempête du 13 février 1972 avec les 4 membres de son équipage.
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