Malgré un WE plutôt remuant, j'ai pris enfin la peine de lire le dernier Bateau Modèle (vous me pardonnerez, j'ose espérer, la référence à ladite littérature, mais c'est important pour les besoins de la cause...).
Il y a notamment un article que je trouve très bien fait sur la construction d'un thonier basque : le sagrado corazon.
Du coup, voulant pousser les recherches un peu plus loin, j'ai trouvé ce blog http://modelisme-thonier.over-blog.net/. J'en ai la soutane qui s'est affaissée, la glande à émotionnite qui s'est emballée et le canal lacrymal qui s'est ensablé. Quelle merveille de réalisation mais surtout quelle pédagogie dans les explications données au quidam à deux mains gauches que je suis ! Bref vous l'aurez compris, je me suis un peu emballé !
Les photos correspondent trait pour trait à celles de l'article de Bateau Modèle. Mon brillant esprit de déduction faisant son oeuvre, j'en ai déduit que l'auteur de l'article et ledit blogueur était en fait la même personne... démasqué l'artiste !!!
J'ai complètement craqué sur ce bateau, le niveau de finition et les explications données dans la revue susvisée et le non moins cité blog. Du coup, hop, revue et plan commandés... sont dans le fourgon postal que j'attends avec impatience.
Aussi, toujours avec cette brillance d'esprit qui me caractérise (n'en jettez plus mon bon, n'en jetez plus... ), je me suis même laissé aller à penser que l'auteur de ces lignes fréquenterait peut être ce haut lieu de rencontres modélistiques qu'est ce bon fofo...
S'il avait donc l'extrême amabilité de se manifester, j'aurais quelques questions à lui poser, la principale étant notamment celle de la quantité de bois à prévoir. En effet, il s'agit de mon tout premier modèle sur plan, donc je n'ai aucune idée de la quantité de bois qu'il faut prévoir. Qui plus est, je préfèrerais l'acheter au fur et à mesure, histoire d'éviter les contrariétés avec mon contrat de mariage... on ne sait jamais l'imprévisibilité réactionnaire que peuvent déclencher les hormones gestationnelles... gare au gorille !
Merci d'avance et pardonnez cet apostolique excès verbal de jeté de fleurs...
Bien à vous,
Von Strüdel